Pour la deuxième journée consécutive, les écuries présentes sur le circuit de Sakhir – au Bahreïn - ont été contraintes à l’inactivité quasi-totale en raison des mauvaises conditions météorologiques.
Après la tempête de sable, mercredi, il y avait encore beaucoup de poussière dans l'air et les monoplace ont eu seulement le temps de boucler un tour d’installation avant que les responsables du circuit décident de suspendre toute activité - l'hélicoptère médical ne pouvant ni décoller, ni atterrir.
Jarno Trulli – qui était de corvée - a dû reporter sa première véritable prise en mains de la TF109 et devra attendre vendredi pour espérer rouler.
« Je n'ai jamais vu de tempête de sable dans le désert avant ça. C’était une nouvelle expérience » souriait le pilote italien. « Il est évidemment regrettable que nous ayons été bloqués dans les stands hier et d'aujourd'hui. Je suis juste sorti pour un tour d'installation dans la matinée avant que la piste soit recouverte de poussière.
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« Mes premiers tours avec la TF109, au Portugal, avait été fortement perturbés par le froid et la pluie – ça me démange d’avoir une journée normale dans la voiture. J'espère que ça sera le cas demain » ajoutait Trulli.
Dieter Gass, ingénieur de l’équipe Toyota, reste serein : « Encore une fois, nous avons été dans l’impossibilité de rouler en raison de la persistance des effets de la tempête de sable. Les conditions se sont légèrement améliorées au cours de la journée, mais nous n'avons pas pu rouler car l’hélicoptère médical n'était pas en mesure de rejoindre l'hôpital le plus proche. Nous reviendrons demain, dans le espoir de pouvoir boucler quelques tours ! »
J-P.K
© CAPSIS International
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